Jade Hearthaker

{{ Votre personnage – Briefing.


.::Nom & Prénom(s) ::.
Mon nom? Je ne vois pas ce que ça vous apporterai, mais si vous insistez... Hearthaker, Jade. Pour ne pas vous servir.

.:: Date de naissance & Âge ::.
Je suis née dans cette merveilleuse année qu'est 1965, le 16 mai. J'ai donc 15 ans.

.:: Lieu de naissance ::.
Mon pays? La France.

.::Race ::.
Humaine


{{ Physical and Psychological Descriptions.

.:: Physical Description ::.

Encore
une fois, je me demande bien ce à quoi une description physique
détaillée va-t-elle vous servir. Mais, puisque vous y tenez tellement,
je vais vous faire plaisir. Enfin... Faire plaisir n'est peut-être pas
le mot...

Je suis belle. Très belle même. Je sais que ma beauté
est traditionnelle, que c'en est presque fade -a mes yeux en tous
cas.-; qu'importe. Je m'aime quand même. Et je sais que plusieurs homme
m'aiment aussi. Pas seulement grâce de mon visage, loin de la. Les
humains sont futiles et stupides. Pour eux, seul les formes comptent...
Enfin, il ne diront pas non a une fille belle, en plus d'être bien
fichue. Ils sont pire que des chiens en rut. Et tous inutiles. Je ne
suis jamais tombée amoureuse. Cela n'arrivera pas de sitôt.

Mon
visage, ovale, parfait, est surmonté de cheveux que je me plait a
arranger comme il me plait. Ce n'est pas rare de me voir un jour avec
les cheveux blonds et ondulés, et noir et raides le lendemain. Pas rare
du tout. Je prend toujours une demi heure de préparer, c'est
automatique. Je ne me maquille pas énormément; juste une petite touche
d'eye-liner autour des yeux... Bon, une grosse couche, j'avoue. Mais
jamais trop. Mes yeux, justement, sont noirs et en forme d'amande,
simples. Mais jolis. Tout le monde me le dit, d'ailleurs. Il paraitrait
qu'ils soient mobiles... Que la pupille peut fondre en fonction de mes
sentiments. Je n'en suis pas sûre, je n'ai jamais essayé devant un
miroir. Mais bon, on ne peut jamais savoir si on a pas vu.
Mon
nez, lui, est droit, de taille moyenne. Normal. Comme le reste. Mais il
s'accorde bien. Alors je ne proteste pas le moins du monde. Du moment
que je suis belle, la banalité n'a plus d'importance.
Ma bouche,
vous l'aurez deviné, est... Normale. Quelle surprise, grands dieux!
Elle est fine et pulpeuse. En fait, tout le monde n'a pas quelque chose
de normal en lui. Tout le monde se ressemble, en fin de compte.
L'ensemble n'est jamais "normal" parce qu'unique.
Ma peau est pâle mais légèrement rosie, comme de porcelaine. Je l'aime bien. Elle est douce et lisse, comme de la soie.

Pour mon style de vêtement... Je n'en ai pas de particulier. Mais je met, souvent -très souvent
même- des vêtements mettant mes formes en valeur. Je ne pouvais pas
vraiment y résister. Et j'avais d'ailleurs une importante garde robe.
Il était extrêmement rare que je mette, en un mois, la même tenue,
jusqu'au sous-vêtements. De même pour les bijoux. Je n'aime pas la
répétition, déteste l'ennui. Il faut que je trouve un endroit ou aller,
des gens avec qui parler, a qui montrer que je suis belle.

Je crois qu'avec tout ça, je vous ai décrit ma petite personne... Enfin, je crois.

.:: Psychological Description ::.

Mon caractère... Cela, vous en aurez sans aucuns doutes bien plus besoin que le reste. Sinon, vous allez être dépassé de suite.

Premièrement,
mais ça je pense que vous l'aurez compris, je suis terriblement
narcissique. Je n'aime pas le dire. Je fais une exception, vous êtes si
gentil... Enfin bref. J'aime qu'on m'admire, qu'on bave d'envie -ou
d'autre chose- en me voyant, qu'on me complimente, qu'on veuille être
en ma compagnie pour ça... Je tiens à moi. Je sais très bien que je
suis bête et superficielle. Mais je m'en fiche. Je suis heureuse comme
ça.

Enfin, pas que comme ça. Je ne suis pas si idiote que ça,
voyez vous. J'ai la richesse, la beauté, je suis douée. Alors,
évidemment, les hommes sont à mes pieds. J'ai appris a les considérer
comme acquis, comme des jouets dont je pourrais disposer à ma guise. Et
c'est vrai. Sauf quelques uns, ils sont tous a se bousculer au
portillon pour moi. Ridicule, bien sûr. Je ne leur apporte rien, sinon
la satisfaction de croire qu'ils ont réussis à m'avoir, à me piéger.
Mais quand je les laisses, ce sont des loques, des choses bien plus
inutiles. Il y a eu des exceptions. Certain étaient meilleurs au lit
que d'autre, plus beau, plus intelligents, plus dévoué -je n'entend pas
par la qu'ils me suivaient comme un toutou, mais qu'il s'occupe de moi-
et, seulement, je pouvais bien rester avec eux pendant plusieurs
semaines... Voir plusieurs mois. Mais ce n'est arrivé que très rarement
-une ou deux fois pour être précise. Mais, au final, c'est pareil, je
m'en lasse. Toujours. Même le plus parfait, ce n'est rien de plus qu'un
jouet, un pion dont je me sers quand je veux. Je ne suis, du coup,
jamais tombée amoureuse. Je ne pense pas que cette malédiction me
tombera dessus un jour.

J'ai mes limites, et je les respecte.
J'ai beau être garce et crue, dés que je sens... Que l'autre est sur le
point de devenir dangereux, je me calme. Ce n'est que pour éviter de
m'attirer des ennuis. J'ai déjà laissé plusieurs fois la situation
couler. Je gagnais toujours. Je suis forte psychologiquement, mais
physiquement aussi. Sous mes formes délicates, je suis plutôt bien
musclée.

Je suis terriblement têtue et bornée. Je le sais, mais
j'en ai strictement rien à faire. A quoi bon faire plaisir aux autres
autrement qu'en leur parlant? Je suis aussi rebelle, très rebelle. Les
règlements, je m'en balance. Qu'ils aillent... au paradis. C'était sans
doute mieux que l'enfer. Pour moi, l'enfer était une gigantesque plage
couverte de gentil a emmerder et avec tout plein de jolis messieurs
avec d'impressionnantes tablettes de chocolat, le tout accompagné d'une
bonne musique hard rock. Un enfer paradisiaque, en quelque sorte.
Et
le paradis, un endroit tout blanc, tout plein de musique douce et
agréable à l'oreille, des jolis petits angelots nus sans sexe, des
adultes vêtus de la même toge blanche... Du blanc de partout, en gros,
un monde ennuyeux a s'endormir sur place.

Je n'aime pas qu'on me
tienne tête. Mais alors pas du tout. Ne vous y risquez jamais. Alors,
mes limites n'existe même plus. aucun risque pour que vous échappiez a
la bataille, alors. Cela pourra être avec les poings comme avec les mots.

.:: Like / No like.

Comme
dit ci-dessus, je n'aime pas, mais alors d'une façon irrévocable, qu'on
s'oppose a moi, de n'importe qu'elle manière. Je chercherais toujours
le coupable, le trouverais, le défierais. Et, ensuite, il pourra dire
adieu a sa réputation.
Je n'aime pas non plus ceux qui me font perde
mon temps, qui me ralentisse. "Ma route n'appartient qu'à moi, déroulez
le tapis rouge."
J'aime qu'on me regarde, évidemment. Mais qu'on me regarde bien. De travers ou d'un air dégoûté, il vaut mieux éviter. C'est meilleur pour la santé.
J'aime
beaucoup les marques d'attention, les câlins, les cadeaux. Toutes
sortes de cadeau. Surtout les vêtements, bijoux, maquillage, parfums...
Je
n'aime pas grossir. Mais j'adore les sucreries. Ces deux goûts sont peu
compatibles. Quel dommage. Mais je ne me prive jamais de quelques
caramels par-ci, par-la.

J'aime le sexe. Oui, et je n'ai aucune
honte à le dire. La religion a perverti le sexe, alors que c'est la
base même de l'homme. Juste pour calmer le jeu en ce qui concerne les
femmes enceintes. N'importe quoi, vraiment.
Quoi qu'il en soit,
j'aime coucher. Mais je ne couche pas avec n'importe qui. Je choisi mes
proies avec attention et méticulosité; je n'irais jamais prendre un
garçon au hasard, sans savoir si, oui ou non, il en vaudra la peine. Si
il est mignon, l'embrasser, à la limite. Je flirte avec tout le monde,
même quelques filles, parfois. Mais pour les filles, ça ne va jamais
plus loin que des baisers ou des caresses. C'est mal vu, alors j'évite.


{{ Once Upon a Time…
.:: Famille, Story of my life ::.



Je
suis né sous X. A ce qu'il parait, ma mère était un péripatéticienne.
Je ne l'est su qu'à mes 9 ans, pendant la récréation. Bien sûr, ce
n'est qu'une rumeur. C'est truc qui a entendu que machin avait dit a
bidule que chose avait dit à machine... Enfin bon. Mais je suis, qui
qu'elle soit, reconnaissante à ma mère. Elle m'a permis de vivre. De
connaitre les regards envieux des gens. Je sais que c'était une vélane
-je pourrais d'ailleurs la retrouver, je pense, avec un peu de
persévérance- mais je ne le ferais pas. Elle m'a rendu service en me
mettant au monde; je lui rendrais service en ne l'embarrassant pas.
C'est le moins que je puisse faire pour elle.

Pour
les frères et sœurs... Je n'en ai pas eu. Mais, à l'orphelinat, il y
avait quelqu'un -un humain, s'entend- qui me ressemblais beaucoup. Pas
vraiment physiquement. Mais, tout deux, nous étions pervers, nous
aimions qu'on nous regarde. Nous étions le couple V.I.P de
l'établissement, les semeurs de troubles également. Rebelles. Au bout
d'un ans, voir même moins, les gérants ont arrêter de nous punir.

Nous
faisions tout pour rester ici, ensemble. Nous nous comportions mal
devant les gens intéressés par nous, à grand renfort de pet, rot,
reniflement, grattage au niveau de l'entre-jambe... Enfin, de vrais
porcs, quoi. Ceux qui en riait, on allait jusqu'à faire un petit strip
sur le bureau. Ceux qui applaudissaient, on les insultais en leurs
faisant des grimaces et de doigts d'honneurs. Ceux qui s'en moquait
totalement, on les frappait.