Nom : Lee
Prénom : Gianna
Age : Euh... ça dépend... 20 ans en physique mais 1 ans de vampirisme.
Statue de votre personnage : Vampire
Votre Camps : Vampire du mal qui garde une grande maitrise de sa soif
~ Description De Ton personnage ~Caractère
: Gianna est une traqueuse extrement douée. Ses sens sont devellopés de
façon démesurée. Avec un peu de volonté, elle pourrais retrouver une
personne dans une foule de sosie de celle-ci. Cependant, elle est très
calme et a une maitrise de soi impressionnante. Si elle le voulait,
elle pourrait transformer tout une ville en vampire sans avoir eu le
reflexe d'aspirer le sang de la victime. Elle est très sauvage, et ne
se lie avec une meute seulement par nécessité. Elle est calculatrice et
intelligente, elle n'hésite pas a pousser des "proches" en avant pour
échapper elle même a la mort. Mais elle est très possesive et, quand
elle choisi une proie ou qu'elle réussi a se lier d'amitié profonde
avec quelqu'un, c'est tout le temps "le premier qui s'approche à moins
de cent mètre il est mort."
Elle a toujours préféré le sang, pur, des enfant ou des nouveaux nés. Elle est incroyablement forte et rapide.
Elle a une volonté de fer. Personne ne pourra jamais la faire changer d'avis.
Qualité
: Gianna est une excellente traqueuse. Elle est très vive d'esprit et
rapide. Elle est calme au possible, et peut se montrer vraiment très...
humaine.
Défaut : Elle est extremement possessive. C'est une petite sauvageone, elle n'en fait qu'à sa tête. Elle est tétue et bornée.
Description
physique : Gianna est grande. Très grande. Ses jambes sont longues et
ellancées, et elle est très souple. Comme tous les vampires, elle est
d'une beauté a couper le souffle. Ses cheveux, bruns avec des reflets
roux, ondulés -pratiquement frisées- lui tombent en cascade sur les
épaules. Sa peau est légèrement olive pâle. Ses lèvres, pulpeuse, sont
rouge pâles. Sont nez est droit, noble. Ses sourcils, fin et arqués,
chevauchent ses yeux qui, avant, étaient verts profond, tels deux jade.
Maintenant, ils sont constament rouge rubis, et légèrement en amande.
Son corps est élancé, son dos légèrement cambré. Ses formes sont
avantageuse. Elle n'hésite pas a mettre son corps en valeur pour
tromper plus facilement ses proies. Elle est infiniment gracieuse,
telle un souffle glacial et furtif. Glacial, oui, car sa peau est aussi
froide que la neige éternelle. Elle dégage une odeur subtile, comme la
rosée du matin, sans l'être vraiment; il y a un petit plus. Un soupcon
d'animal.
Loisir : Chasser, traquer, courir.
Ce qui l'aime : Le sang des enfants, toujours plus frais.
La traque, la course. Provoquer des batailles, qu'elle en fasse partie ou non.
Ce qui n'aime pas : Perdre la trace d'une proie, qu'on lui la vole. Qu'on se moque d'elle.
Histoire
de ton personnage: Humaine, Gianna habitait en Italie. Elle passait son
temps seule. Ses parents l'avait déposée dans un orphelinat a sa
naissance. Elle avait toujours été calme, cependant; jamais elle
n'avait laissé ses émotions prendre le dessus. Elle se serait fait
anéantir. Bref. Ses 18 première années furent sans beaucoup d'intérêt,
elle était froide. Elle n'avait goût a rien, sauf quelque rare
activités, lui permettant de ressentir son émotion préférée
-l'excitation. Cela la faisait vivre, l'empêchait de couler. Un jour,
vers ses 19 ans, elle ne sait plus,alors qu'elle errait dans une rue,
un personnage étrange, d'une pâleur inquiétante et d'une rare beauté,
vêtu d'une tenue quelconque, se fit surprendre par un rayon de soleil...
- Spoiler:
.style.display == 'none'){ this.getElementsByTagName('td')[1].style.display = '';this.getElementsByTagName('td')[2].style.display = 'none'; }else{ this.getElementsByTagName('td')[1].style.display = 'none';this.getElementsByTagName('td')[2].style.display = '';}" style="cursor: pointer;" width="90%" align="center" border="0" cellpadding="0" cellspacing="1"]J'errais dans une petite ruelle, cherchant en vain une activité intéressante. Mon appartement, désormais familier, ne m'intéressais plus. Volterra, ville pourtant macabre, ne m'intéressais plus. Je marchais, en tentant de paraitre détachée. De rare promeneur croisaient mon chemin, souvent en couple, se tenant pas la taille. Je ne réussis pas à retenir un sifflement de dégout profond -surtout de jalousie. Jamais je ne connaitrais ça. Personne ne s'intéressait à moi. Soudain, alors que je ruminais mes sombre pensées, un homme apparu au coin de la rue. Je n'y prêtais pas vraiment attention, mais, du coin de l'œil, je ne pouvais m'empêcher de l'épier. Il était d'une stupéfiante beauté, qui effrayait presque; ses yeux était rouge bordeaux, sa peau olive pâle, comme moi. Un air assoiffé se mouvait dans ses prunelles. Je ne pus m'empêcher de m'arrêter, muette de stupeur. J'éprouvais ce sentiment tant adoré. L'excitation. Comment un parfait inconnu, aussi parfait et effrayant fut-il, pouvais être capable de faire naitre en moi une impression pareille? Il ne s'arrêta pas, mais il gardait la tête rivée dans ma direction, se moquant de voir ou il allait. En temps normal, une personne se serrait payé le mur, mais il le contourna aisément. Il stoppa finalement, revint vers moi, m'aveuglant de sourires charmeurs. J'étais pétrifiée et, haletante, je reculais lentement, sans m'en rendre compte, juste par réflexe. Il était presque midi, et un rayon de soleil vint frapper le corps du jeune homme. Ce que je vis, a ce moment précis, était sidérant. Sa peau, blanchâtre, se mit a lancer des trais de lumière multicolores tout autour de lui; il se mouva avec souplesse, extrêmement vite. Quand il se retourna vers moi, il était plus menaçant; il s'était mis en position d'attaque, comme un guépard, et ses yeux luisaient faiblement. Je voulus reculer encore, mais heurtais le mur. Sans doute aurai-je dû paniquer a cet instant, mais je ressentais encore et toujours l'adrénaline qui s'écoulait dans mes veines. J'observais l'homme avec avidité, et il me fixait bizarrement, comme si j'étais une martienne. Il se remit finalement dans sa position normale, son visage redevint amical. "-Viens. Tout de suite. Je voudrais te parler." Je hochai la tête, peu conscient du danger que je risquais assurément. Je lui emboitais le pas, et ne pus m'empêcher de me comparer a un pantin désarticulé par rapport a la démarche de l'homme. Finalement, nous entrâmes dans une salle totalement neutre, dans les tons blancs et beige. Plusieurs personne, toutes d'une beauté époustouflante, se tournèrent vers moi, le regard curieux. Tous, sauf deux personne qui se tenait la main assis sur le sofa, qui les avaient rouge rubis, avaient les yeux rouges bordeaux. Ils étaient tous vêtu de la même robe, noire ou grise, selon les personne. LA majorité avaient la peau blafarde. Les visages et les mains, seules parties a l'air libre, scintillaient doucement. Je n'éprouvais aucune peur. Je les défiais du regard, levant bien haut mon menton. "-Eh bien, eh bien, Félix, qu'avons nous la?" demanda la petite fille assise sur le canapé, septique. "-Je pense que cette demoiselle pourrait remplacer l'ancienne réceptionniste, Jane, répondit-il. Elle m'a l'air apte a ce genre de travail." "-Hum...", fit un vieillard a la peau aussi pâle que l'oignon, qui était posté dans l'ombre. "Est-elle au courant? De notre situation?" "-Non. Mais j'ai bien l'intention de l'en informer, Aro.", répondit le dénommé Felix. Quoi? Vous êtes des mutants?, Voulus-je crier, mais ma gorge était si sèche que je n'aurais rien pus dire. Felix se traina vers moi, un rictus lui fendait le visage. Il me sourit, me découvrant ses dents. Des canines épaisses et aiguisées rendait sa dentition menaçante au possible. J'écarquillais les yeux. Des vampires! Ici! Dans la ville prétendue la plus sûre du monde les concernant! J'étais sidérée. Et ils avaient l'air affamé, surtout. Vraiment assoiffé. Sauf Jane et l'autre, assis sur le canapé. Je reportais mon attention sur Felix. "-Vampire", soufflais-je. "Vous êtes des vampires." "-Hahaha!" s'esclaffa Aro. "Elle est rapide! De simple canines!" Je souris maladroitement. J'espérais juste ne pas devoir leur servir immédiatement de repas.
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Elle resta au service d'Aro, Marcus et Caïus pendant un ans.
Elle
avait appris a ignorer le fait que les gens qu'elle voyaient chaque jour
n'était que des monstre sanguinaires, et parvenait a se lier un peu
avec certains d'entre eux. Jane, le vampire le plus redoutable de la
maisonnée, lui tenait quelques fois compagnie. Felix, plutôt farceur,
lui rendait également visite de temps en temps. Elle savait que, un
jour ou l'autre, elle périrait de leurs mains, mais ce jour tardait a
venir.
Un jour, un certain Edward vint a Volterra pour mourir.
Pourquoi un vampire voudrait-il connaître le trépas? Cela tenaillait
Gianna. La demande fut refusée, il tenta de provoquer un accident pour
que les Volturis réagissent.
Quand il revint dans le bâtiment, il était en compagnie d'un autre vampire, et d'une humaine totalement quelconque.
Bella et Alice, avait-elle compris.
Ils s'en allèrent peu après, et Gianna rêvait toujours de devenir un vampire.
Ce qui ne tarda pas. Ce fut Aro en personne qui se chargea de sa transformation. C'était atrocement douloureux.
Le délai des trois jours passé, Gianna était devenue encore plus belle, plus indomptable et plus calme que jamais.