Breaking Dawn Again
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7 ans après Breaking Dawn... Il y a eu tellement de changement dans la famille Cullen...
 
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 Opale Masen

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Renésmée Carlie Cullen
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Renésmée Carlie Cullen


Messages : 76
Date d'inscription : 19/03/2009

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MessageSujet: Opale Masen   Opale Masen Icon_minitimeSam 16 Mai - 0:19

~ Identité du Personnage ~

Nom : Masen

Prénom : Opale

Age : Apparence:20 ans Age réel: 90 ans

Statue de votre personnage : Vampire

Votre Camps : Vampire du bien

[Non]

~ Description De Ton personnage ~

Caractère
: Notre petite Opale est très... instable. Elle n'a pas vraiment de
caractère propre. Elle s'adapte au personne avec qui elle est, sachant
que son pouvoirs est de deviner le caractère des êtres a qui elle
parle. Elle peut être aguicheuse comme timide, Colérique comme douce,
impatiente comme blasée... Enfin, je vous l'ai dit, elle n'est pas
seule dans son monde. Elle entre dans les moules qu'on lui tends.
Par
conséquent, il n'y a qu'une seule chose qu'elle fera tout le temps:
plaire aux autres. Elle n'aime pas le rejet, et est extrêmement
nerveuse quand elle parle à plusieurs personnes en même temps, au quels
cas elle s'arrange pour s'effacer discrètement. Elle déteste qu'on
l'ignore, elle aime être remarquée, mais ne le montrera jamais. Au
fond, elle est aussi un peu orgueilleuse. Mais après tout, est-elle
elle même au courant?

Qualité : Elle aime faire plaisir au
autres, leurs plaire et les rendre heureux. Elle est très rapide, plus
que la moyenne vampirique, forte et maligne; grâce à ses longs bras,
elle attrape plus vite ses proies. Elle a une voix sublime et sait
jouer du violon à merveille, ainsi que quelques autres instruments.

Défaut
: Elle n'aime pas qu'on l'ignore -ce qui, admettons le bien, est bien
rare- et est un peu trop instable. On a du mal à la cerner, parfois;
elle peut parfois mettre les gens mal à l'aise.

Description
physique : Notre chère vampirette a des cheveux blonds, très blonds, et
légèrement bouclé, lui tombant en masse légère sur les épaules. (Vous
voyez? Non? Ben regarder l'avatar) Et ses yeux en forme d'amende sont,
comme tous les vampires végétariens, caramel foncé ou miel clair, en
fonction de la soif du sublime prédateur.
Elle a un front plutôt large, des pommettes saillantes, Des sourcils fins et une petite bouche pleine.
Elle
n'a pas de style vestimentaire particulier; comme son caractère, elle
s'accorde, si elle le peut, au goût des personnes auxquelles elle
parle. Autrement, son style suit la mode. La, au moins, aucune façon de
se tromper, pas vrai?
Elle a une démarche souple, gracieuse, légèrement plus légère que celle d'autres vampires. Ses doigts ont fins, graciles.
Sa
silhouette est allongée, ce qui lui donne l'impression d'être plus
grande que son mètre 70, et la nature n'a pas été radine en ce qui
concerne les formes. Ne soyons pas timide, cela ne servirait à rien, de
toute façon: Opale est sexy. Beaucoup.
Et, quelque soit son style
vestimentaire, cela se voit. Elle le montre presque dans toutes ses
facettes, sauf quand son interlocuteur préfère les personnes timides.


Loisir : Ah, tellement de choses. Mais en particulier danser, chanter, jouer du violon.

Ce qu'il aime : Le chant, la musique, la danse, sauver des gens

Ce qu'il n'aime pas : Être rejetée, ne pas plaire aux autres. Laisser les gens se blesser ou mourir. Les disputes.

Vos relations :

Histoire de ton personnage:

Partie Humaine:
31 avril 1919, Floride, Hôpital St Gabriel

Dans
une salle, blanche, un lit, blanc. Une porte... La porte s'ouvre, le
vacarme brise la quiétude de cette pièce immaculée. Plusieurs hommes et
une femme arrivent, tirant, poussant un brancard ou est allongée une
femme. Une femme qui hurle à la mort, aussi fort qu'aucune femme n'a
jamais crier, tout en appuyant comme une furie sur son ventre. Un des
hommes, qui, contrairement aux autres, est habillé normalement, lui
caresse le front, le dos de la main, les joues, les bras, le crâne,
bref tout ce qu'il est en mesure de toucher sans faire redoubler les
hurlements, le regard paniqué. La femme est en sueur, et se
contorsionne dans tous les sens alors que les médecins la déplacent du
brancard au lit blanc; l'homme aux caresses la lâche.

Durant
au moins une demi-heure, la femme hurle, se débat, pousse, respire pour
repousser encore... Jusqu'à l'apparition d'une petite tête recouverte
d'un léger duvet blond pointe, puis des épaules, un torse, des bras,
des jambes, et enfin des pieds... Les hurlement cessent. Le bébé,
couvert de sang et pleurant presque aussi fort que sa mère avait crié
il y a quelques secondes, change de main pour aller se coucher dans les
bras faibles et tremblants de sa mère. Le bonheur est total, sans
aucuns défauts; juste la mère, le père, et le bébé. D'une voix douce,
chaleureuse, un des docteur annonce au couple que le charmant petit
être en train de brailler est une fille. De bonheur, la mère serre son
enfant contre sa poitrine.



31 avril 1923, Floride, Villa Masen.

<<-NA!!! 'Eu 'eux pas! 'Aime bien ici!
-Opale, s'il te plait! on va rater notre train!
-NA!
-LAURENT! Tu veux bien venir m'aider?!? Elle ne veux rien entendre!>>

D'un
pas lent et fatigué, le père de Opale entre dans la pièce. La petite le
regarde de ses grands yeux affolés, sur le point de se mettre à craquer.


<<-Paa! 'Veux pas! 'Veux rester ici!
-Je
sais Opale, je sais... Mais ne t'inquiète pas, nous ne partons pas
loin... Et on aura juste la maison et les pièces qui vont changer...
Tous les meubles seront les mêmes!>
-Mais explique lui normalement enfin! Cela sera encore plus dur après!
-Elle ne comprendra pas, Lya. Elle a beau être très intelligente, elle n'a que quatre ans. Il ne faut pas la brusquer!
-Ha! Evidemment, Monsieur la protège elle au lieu d'aider sa femme!
-Lya, veux-tu bien cesser? Je t'aide comme je peux!
-Tu ne dis que ça depuis 6 ans! Menteur! Je sais très bien que tu la préfère a moi!>>

L'homme se figea, choqué.

<<-Tu crois que... Je la... Préfère à toi?
-Mais
évidemment! Voyons, ça saute aux yeux! Tu la câline, l'embrasse... Mais
moi, tu te dispute toujours avec moi! Jamais un mot d'amour!
-Mais Ly... Oh, et puis hein! crois ce que tu veux.>>

Ce fut au tour de Lya de s'arrêter, stupéfaite. Laurent se tourna vers Opale, qui pleurait à présent, et la prit dans ses bras.

<<-Shhh... Ne t'inquiète pas... Tout va bien...
Nous reviendrons...
-Non.>>

Le père d'Opale ne retourna vers sa femme, perdu. Celle-ci avait le visage fermé.

<<-Comment-ça, non? On était d'accord...
-Tu n'a pas le droit de dire "Nous".
-Comment? Mais, Lya!
-Tu m'as comprise.
-Lya, non!
-Je
te la laisse. Contrairement à toi, je t'aime trop pour te faire subir
la plus grande souffrance de ta vie. Mais, la deuxième, pourquoi pas?
-Lya... Je t'en prie...>>

Il
tendit un bras vers elle, et elle recula, méprisante. Son regard
s'arrêta un instant sur les yeux dévastés de sa fille, et sa
détermination flanche, puis elle se ressaisit.


<<-Ne me touche pas! Si jamais tu me touche ou m'approche, jamais plus je ne reviendrais. Jamais.
-Je t'en prie...
-Je
ne prends que mes affaires. Je vous laisse vos billets de trains, et la
valise contenant toutes nos photos. Au revoir, Laurent.
-Lya...
-Maa!! Na! Maa!>>

Les yeux de la femme se fermèrent douloureusement, puis elle attrapa deux valises qui attendaient près de la porte.
Sans
un regard pour la famille qu'elle laisse derrière elle, elle franchis
le seuil, en posant deux billet de trains sur le parquet.

Puis elle disparut, pour ne plus jamais revenir.

20 mars 1931, Orlando, Internat St James ( Razz )

<<-Vous verrez, elle est très gentille. Elle ne vous posera aucun problème.
-Ne vous inquiétez pas, je vous crois.
-Vous avez bien dis "sans obligation de paiement"?
-Oui, la aussi, vous n'avez pas de soucis à vous faire. Nous veillerons bien sur cette petite.>>

La
gérante, dont des cheveux descendaient en cascade argentée sur ses
épaules, se tourna vers Opale en souriant. Rare pour une gérante de
pension.


<<-Alors, ma petite, comment t'appelle-tu?
-Opale, Madame.
-Eh bien, Opale, sache que tu peux m'appeler Amélie.
-D'accord... Amélie.>>

La vielle sourit de nouveau, découvrant des dents d'une perfection étonnante.
Cette
gérante n'était pas une vieille comme les autres. Elle avait la peau
lisse, pâle, et ses yeux étaient dorés et chaud comme le miel. Elle
était très belle, ses cheveux étaient de soie.


<<-Tu viens? Les autres vont bientôt sortir du réfectoire...
-Oui. Mais... Je peux avoir une seconde?
-Bien sûr...>>

Opale
se tourna vers son père. Celui-ci avait détourné la tête, et Opale, qui
lui arrivait aux oreilles, posa une main sur son épaule, ne voyant pas
son visage. Sa tête pivota légèrement, mais ses yeux restaient
invisible; Opale pris les joues de son père et les tourna vers elle.

Ses
yeux, déjà chagriné, se brisèrent et se remplirent de peine et de
douleur à la vue du visage dévasté de son père. Celui-ci avait les yeux
rouges, et son visage était strié de larmes transparente qui coulait
sans bruit.

Sa fille lui sauta au coup et enfouis son visage dans les cheveux de son père, se mettant aussi à pleurer.

<<-Oh, Paa, ne pleure plus! On se reverra souvent!
-Je sais, Opale... Je sais... Je t'aime, ma puce.
-Je t'aime aussi, Paa! Plus que tout au monde! Tu vas tellement me manquer!
-Moi aussi, Opale. Je t'aime... plus que ta propre mère.
-Paa...
-Allez, vas-y. Ne fais pas attendre tes camarades...>>

Son
père acheva les adieux sur un hoquet, qui renforça encore l'étreinte de
sa fille de 12 ans autour de son cou. Après quelques secondes de
silence, la gérante interpella Opale d'une voix douce puis, à contre
cœur, l'intéressée lâcha son père pour se tourner, le visage trempé,
vers le couloir ou elle allait s'engouffrer. Elle regarda son père une
dernière fois puis avança, la main de la gérante sur son dos.


29 avril 1938, Orlando, Internat St James

<<-Wahou! C'est le grand jour.
-En effet...
-Voyons, ne fais pas cette tête. Tu va revoir ton père, aujourd'hui. Tu devrais être heureuse.
-Oui, mais je n'ai pas envie de pleurer. On ne va pas rester ensemble longtemps.
-Ne sois pas si pessimiste! Une semaine!
-Ce sera assez pour me faire souffrir!
-Oh, et mince. Agis à ta guise, broie du noir, si tu le souhaite.
-Merci, Lauren.>>

Déçue, la meilleure amie d'Opale lui tourna le dos puis continua a ranger ses affaires, tout comme Opale de son côté.

<<-Depuis combien de temps tu ne l'a pas vu?
-Depuis que je suis ici.
-Eh ben, ça fait long... 7 ans, c'est ça?
-Oui.
-Mais tu as de la chance que ça tombe sur la période de ton anniversaire! Moi, c'est toujours au moins 3 mois avant ou après.
-En effet, c'est vraiment de la chance...
-Tu me désespère. Bon, je vais poser mes valises en bas. Je reviens.>>

Lauren quitta la salle, a grand renfort de ahan et de fouuu, et
Opale se retrouva seule. Dés qu'elle fut sure que Lauren ne pouvait
plus l'entendre, elle ouvrit la fenêtre, saisit la corde qu'elle avait
trouvé dans le grenier de l'internat, l'attacha au lit le plus proche
de la fenêtre, la laissa pendre, lança le contenu de sa valise par la
fenêtre, puis commença la descente.



31 avril 1938, forêt d'Androgyne, Floride.

<<-Opale...
-AAAAH!
-Du calme! Du calme Opale! C'est Amélie!>>

La petite fugitive se
retourna. Devant elle, la femme qui l'avait accueillie le premier jour,
la gérante, se tenait. Elle était vêtue d'un débardeur et d'un short.
Stupéfaite, Opale observa ses bras et ses jambes, aussi lisses et
parfaite que celles d'un enfant.

C'est horrifiée qu'elle
recule; la peu de la vielle femme vient d'être frappée par un rayon de
soleil, et se met à étinceler comme un immense diamant. Amélie soupire,
puis se rapprocha en un éclair d'Opale... Avant de la mordre.

Un
hurlement de douleur résonne dans l'environnement boisé, et tout les
animaux, déjà silencieux au possible détalent aussi vite que possible.
La jeune fille, folle de douleur, s'évanouit dans l'herbe.


Elle
se réveilla trois longs jours plus tard. Bien qu'elle n'ait pas assisté
a grand chose, la jeune fille se souvenait parfaitement de la douleur,
qui l'avait suivie jusque dans ses rêves. Elle hurla, mais d'une voix
si douce, si claire, si parfaite, que son hurlement tinta comme une
clochette dans la forêt. Elle ouvrit les yeux. Tout, elle voyait tout.
Elle sentait et entendait tout. Elle voyait les minces rayons de soleil
a travers l'épais feuillage au dessus d'elle, les petits insectes de
baladant sur les feuilles, les pellicules de poussière, entre le ciel
et ses yeux... Effarée, elle se releva d'un bond souple et gracieux.
Devant elle, se tenait la gérante, qui lui souriait, bienveillante. Un
sifflement aigu et haineux sorti des lèvres d'Opale.


<<-Du calme, Opale, du calme... Et bienvenue, ma chérie.
-Ne m'appelez pas ainsi!>>


encore, la jeune femme fut stupéfaite en entendant sa propre voix. Elle
était chantante et pure, comme le murmure d'un ruisseau. Elle respira
doucement, et cela lui fit bizarre. Mais tellement de bien. Elle
recommença, et une odeur, une petite odeur pénétra dans ses narines.
Une odeur délicieuse, enivrante; Sans réfléchir, elle bondit,
totalement dirigée par son instinct. Elle ne savait pas ce qu'elle
faisait, mais n'en avait rien à faire. Sa gorge la brulait, et son
cerveau lui dictait d'aller calmer l'incendie à la source de l'odeur.
Elle continuais de courir, quelques secondes ou quelques minutes,
totalement inconsciente de ses gestes. Une part d'elle s'émerveillait
devant sa rapidité et sa facilité à éviter tous les obstacles naturels.

Mais une main ferme et puissantes la retint et la plaqua contre un arbre, lui bouchant le nez et la bouche.
Aussitôt,
Opale se calma. Elle lança un regard courroucé à la vielle dame. Elle
ne savait pas ce qu'elle était, juste qu'elle avait soif, très soif...


<<-Petite fille... J'imagine que tu ne sait pas ce que tu es devenue...>>

Elle laissa la bouche d'Opale libre de se mouvoir, pour que la fille puisse parler.

<<-En effet.
-Hhhh... laisse moi te le révéler sans t'énerver, d'accord?
-Allez-y.
-Eh bien... Tu es devenue... Un vampire, Opale... Comme moi... Ne m'en veux pas... mais je t'ai sauvé la vie.
-Un... Quoi?
-Un vampire.
-Vous... vous vous moquez de moi?
-Non! Je t'assure que non!
-Et puis c'est quoi cette histoire? Vous m'avez sauvé la vie? Impossible!
-Eh
bien, si. Vois-tu, Opale, j'ai un pouvoir, comme certains autre
vampires, d'ailleurs. Le mien est de prédire l'avenir. Et je t'ai vu
morte. Attaquée par un vampire... Moins bien intentionné que moi. Et
j'ai pris peur. En temps normal, je t'aurais laissée partir seule...
Mais pas pour aboutir à ça. J'ai vu mon confrère te démembrer, Opale.
Te déchiqueter lentement, avant de boire ton sang. Une mort tellement
horrible...
-Génial. Et maintenant, si vous voulez bien me lâcher...
-Non. Des humains trainent par ici. Mieux vaut éviter que ton odeur t'attire, non?
-Comme tout à l'heure? Oh... Mais, et vous? Vous ne craignez pas de perdre vos moyens?
-Non. Après 500 ans de technique, non.
-500 ans? Ouah! Vous n'êtes pas jeune!>>

La vieille vampire s'esclaffa.

<<-Eh non. Mais j'ai de l'expérience. Heureusement pour ses pauvres humains, d'ailleurs.
-Ouah...
-Il te faudra du temps pour t'habituer a cet ârome. Il est très enivrant. Comme une drogue.
-D'accord. Je suis prête à faire des efforts.
-Eh bien, c'est parfait.>>

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Renésmée Carlie Cullen
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MessageSujet: Re: Opale Masen   Opale Masen Icon_minitimeSam 16 Mai - 0:20

27 décembre 1954, Paris.

<<-Oh, regarde, maman, le mannequin dans la vitrine, il bouge!
-Ne dis pas de bêtises, Anne. Les mannequins sont immobiles.
-Mais celui-ci bouge!
-Allez, viens! Tu va nous faire passer pour des folles!
-Mais... Oh. J'arrive, maman!>>

Et pourtant...

<<-On l'a échapper belle! Heureusement que les humains sont tellement rationnels!
-Pour l'heure, c'est vrai. Mais nous avons risquer gros. Heureusement que la petite a accepté de se taire!
-Je dois dire que je suis étonnée... Un simple doigt sur mes lèvres, et elle a abandonné la partie! Bonne petite.
-C'est vrai, elle a agit de façon tout à fait étrange.>>

Les
deux vampires se lancèrent un rapide coup d'œil, se prirent la main, et
disparurent dans un courant d'air, en emportant les vêtement des vrais
mannequins au passage. A vrai dire, elles en avaient bien besoin, de
ses vêtements; ne les blâmez pas!

~~Plus loin, derrière la galerie marchande~~

Opale
se baissa et vida le contenu de son sac sur le sol. Un petit tas de
vêtement de grande marque gisait sur le sol; elle s'empara d'un
débardeur décolleté et d'un short blanc très court, ainsi que des bas
résille noir et blanc et de petites chaussure de toile noire
compensées. Elle retira sa tenue puis enfila le tout en une petite
seconde.
Derrière elle, Amélie, la vampire qui
l'accompagnait depuis le début, avait déjà enfilé sa petite robe bleu
ciel qui contrastait avec sa peau pâle comme la neige.
La vieille vampire lui sourit, puis huma doucement l'air.

<<-On aurait mieux fait de ne pas s'habiller tout de suite. Il y a des biches, dans le coin. Au nord.
-Quel dommage. J'aimais bien ces vêtements.>>

D'un bond vif et furtif, Opale bondit vers la source de l'odeur.
Amélie la suivit, et elles coururent longtemps, avant d'arriver a quelques mètres de leur but... Puis s'arrêtèrent net.
Là,
devant elles, une autre odeur se fit sentir. Opale se figea d'effroi.
La personnalité qu'elle "lisait" dans le vampire posté près de la biche
était affreuse. Ignoble.

<<-Hale! Pars! vite!>>

Tout
alla très vite. Apparemment, la créature avait détecté les deux filles,
et sorti des buissons, les lèvres dévoilant des dents acérées. Ses yeux
brillaient d'un reflet meurtrier. En une fraction de seconde, Amélie
lui sauta à la gorge. Opale essaya bien de se mêler à la bagarre, mais
Amélie s'arrangeait pour la repousser, encore et encore. Une fois de
trop.
Le jeune vampire avait bien remarqué les gestes de la
vieille femme. Et savait qu'elle allait se détourner une fraction de
seconde. Trop longtemps.
Opale essaya de nouveau de se jeter
dans la mêlée, et, de nouveau, fut projetée quelques mètre plus loin.
Quand elle se releva, La tête de sa tutrice roulait en frémissant vers
elle.
Son hurlement déchira le silence, fit frémir les
feuilles, au dessus d'elle. Le cri d'effroi se mua en douleur, puis en
haine. La jeune vampire se jeta sur l'assassin de l'ancienne gérante,
Et lui arracha immédiatement la tête, avant qu'il ne puisse faire
aucuns gestes.
Elle le démembra entièrement, puis brula ses membres. Elle se retourna vers les restes d'Amélie... Qui avaient disparus.
Opale se laissa tomber à genoux, les bras ballants.


16 décembre 2003, Lyon.

<<-...une fille...bravo...mael...joli...
-C'est dégoutant...>>

Opale était recroquevillée dans un coin, prêtant l'oreille à un accouchement, de l'autre côté du bâtiment. Et elle était dégoûtée. Dégoutée pourquoi?
Parce
qu'elle n'avait pas le droit de tuer cette fillette sanguinolante. Et
elle boudait. Elle avait terriblement envie d'aller mettre fin à ses
jours, en s'abreuvant de son sang. Mais non. Impossible.
"Trop jeune, sois sympa. Et puis, tu es végétarienne. Trop jeune. Trop jeune."
"STOP!"
Depuis
que Amélie était morte, une petite voix avait éclos dans sa tête. En
quelque sorte, elle lui dictait ce qu'elle devait faire, et Hale
suivait toujours ses conseils.
"Pourquoi tu ne t'en vas pas?"
"Quoi?"
"Bah oui... Partir, retourner en Floride. Ou autre part. Voir le monde."
"Mais... C'est une bonne idée."
"Mes idées sont excellentes."
"Je sais."
"Pas la peine de prendre ce ton blasé!"
"Tais-toi."
Oui, c'était une bonne idée. Voir des gens. Mais ne pas se faire repérer à cause du soleil. Une région humide. Vite.

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