June Jones - Dark Vampire - [Validée!]

.::Votre personnage::.

Nom:
Jones

Prénom:
June

Age:
physiquement parlant 19 ans - vampirement parlanr 370 ans

Habitat: (Alaska, France.)
France

Vampire: Du bien? Du mal?
Mal - she's a Dark Vampire -

Caractère: (Au moins 7 lignes)
Personne ne peux qualifier la belle June d’ignare et ou de fille facile à comprendre. June fait partie de ses personnes uniques en leurs genres et d’une complexité telle qu’il est difficile de ne pas se perdre. Ses personnes sont parfois à la limite de la confusion ou de la folie, ou aussi à la limite du dédoublement de la personnalité, de la schizophrénie ou encore de la paranoïa. June , elle, est un concentré de tout cela. Elle a de multiples facettes qui lui permettent de se cacher du reste du monde. Cela pourrait être pris pour de la lâcheté mais c’est tout sauf cela, c’est l’unique protection de la belle. Celle-ci pourrait être aisément comparée à une plante carnivore. Certes elle est belle mais elle est un démon, un vrai démon. June est calculatrice, manipulatrice et terriblement vive d’esprit. Elle est aussi orgueilleuse et d’un égoïsme absolu, dans son monde tout tourne autour d’elle. June est aussi insensible qu’une pierre, elle est incapable de ressentir de l’amour, de la peine ou de la pitié. C’est un bunker, une femme au cœur de pierre. Elle ne sait éprouver de que de la haine et de la colère rien d’autre. Mais si quelqu’un pouvait lui apprendre qu’il existait autre chose dans ce bas monde et ben ce serait vachement bien.


Qualités: (Au moins 3 lignes)
Elle n'a aucune qualité, elle n'est qu'un démon qu'Edward pourra haïr comme il le souhaite. On pourrait considerer le fait qu'elle soit un bunker comme une qualité car la belle ne dira jamais un de vos secret.

Défauts: (Au moins 3 lignes)
June est calculatrice, manipulatrice et terriblement vive d’esprit. Elle est aussi orgueilleuse et d’un égoïsme absolu, dans son monde tout tourne autour d’elle. June est aussi insensible qu’une pierre, elle est incapable de ressentir de l’amour, de la peine ou de la pitié. C’est un bunker, une femme au cœur de pierre.

Il aime:
La chasse bien sûr !

Il aime pas:
Qu'on lui tienne tête et qu'on l'empêche d'avoir ce qu'elle désire le plus.

Description physique: (Au moins 10 lignes)
La belle June est une beauté tout à fait exotique, il faut l’avouer. Elle est assez grande, environ un mètre soixante-dix et a un corps tout à fait délicieux. Elle est fine et musclée. Elle pèse aussi le poids d’une plume, c'est-à-dire environ 58 kg. Sa musculature est gracieuse, ses muscles ne sont pas saillants mais son bel et bien présent tout en elle respire la grâce. Ici nous pourrions la comparés aux guépards ou aux poupées russe pour sa beauté inégalable. Oui, en effet elle est tout faite pour la rapidité d’attaque, l’élégance et la grâce. June est, comme je l’ai dit plus haut, une beauté. Elle a de magnifiques yeux Bleu gris, d’une couleur limpide qui prennent des reflets rougeâtres très très clair lorsqu’elle se place face au soleil. Elle a aussi de magnifiques cheveux d’un blond presque blanc, qu’elle aime rassemblés en queue de cheval puis qu’elle natte avec délicatesse. Aussi il est rare de voir June affublés de haillons, elle trouvera toujours le moyen de se parée de belle tenue. Elle aime à porter d’étrange tunique très décolletés et qui se finissent en queues de pie laissant ainsi apparaitre ses jambes gracieuse. June aime aussi porter des bermudas ou des pantalons de cuirs et des vestes faites de fourrure. De plus elle est loin de pouvoir être comparé à une jeune femme qui n’a pas les moyens de s’habillait chez les plus grande marque française, car cette jeune aime à porté des créations de J-P Gautier ou du Chanel. Elle aime aussi porté à l’occasion des vêtements extravagants comme des slims en cuir ou en vinyle très collants ou des corsets dans le style de ceux des fétichistes.

Histoire:

Mon humanité:
Je suis née il y a maintenant 389 ans. Autrement dit il y a très longtemps. J’ai fait souffrir ma mère comme jamais et je l’ai tué. Je ne connais pas les circonstances de sa mort mais apparemment c’est ma faute. Mais je peux vous racontez comment je suis née. Vous le voulez ? Oui ? Non ? Pas de réponse ? Ce n’est pas grave, je le fais quand même. Commençons par le commencement. Ma mère, Veronica Von Krach a rencontré mon militaire de père lors d’un congrès à Londres. Ils se sont marié 2 ans après leur rencontre et un an après je naissais. Ma naissance n’a pas été comme prévus. J’ai failli mourir tout comme ma mère, mais j’ai survécue alors qu’elle non. Voici l’histoire de ma naissance. C’était une nuit d’été, les grillons chantaient dehors, le ciel était constellé d’étoile et la nuit était agréable. Ma mère s’était assise enveloppé d’un plaid sur le banc en fer forgé du jardin et elle contemplait les étoiles. Elle attendait mon père qui devait revenir d’un congrès des états major. Elle était absorbée dans la contemplation des étoiles quand tout à coup elle sentit une violente douleur dans son bidon rebondi qui me contenait. Elle ne comprit pas ce qui se passait jusqu’à ce qu’elle se rende compte que sa robe de dentelle n’était pas mouillée. C’est alors qu’elle comprit. Le placenta c’était décollé, j’étais en train de m’asphyxié .J’étais en tain de mourir doucement mais dans d’atroces souffrances. Mais elle n’avait pas le droit d’appelé un cochet et mon père n’était pas là pour l’aider à passer cette épreuve plus que douloureuse. Elle essaya d’aller jusqu’à la cuisine où se trouvait le papier à lettre pour amené un mot au médecin le plus prés mais la douleur la stoppa a mis chemin et elle émit un cri des plus horribles. Une servante l’entendit et vint de suite voir ce qui se passait. Quand elle arriva, elle retrouva ma mère à genoux en se tenant le ventre et en pleurant. Ensuite ce fut le chaos. La douleur s’intensifia et ma mère tomba dans les pommes. C’était presque trop tard. La servante, madame Lloyd était enceinte elle aussi mais elle, elle pouvait aider ma mère à me mettre au monde. Ce fut d’ailleurs ce qu’elle fit. Ma mère pleurait comme jamais dans la sur le lit où tous les valets l’avaient transportée mais elle lâchait de temps en temps quelques violents et douloureux gémissement voir petits cris. Heureusement pour ma vie le medecin n’était pas très loin. J’étais la chose la plus importante aux yeux de mes parents et je sais qu’ils n’auraient pas supporté de me perdre. Bref, il était presque trop tard, j’étais à moitié morte dans le ventre de ma mère. A peine arrivé le médecin vint directement dans la chambre et en fit partir tous ceux qui ne pourrait pas me venir en aide. Elle eut droit à une césarienne et je pus ainsi vivre. Malheureusement au moment même où j’inspirais ma première bouffée d’oxygène, le cœur de ma mère cessa de battre sous l’effet de la douleur et des rudes épreuves qu’en l’espace de quelques minutes elle avait vécu. Mon père fut très vite averti de la terrible nouvelle. Il fut très vite à la maison où il alla directement au chevet de feu ma mère dans le but de lui faire ses adieux. Il avait demandé pour moi et personne ne lui avait répondu car mon état était critique. Je n’avais que sept mois et demi autant dire que j’étais une grande prématurée. Les adieux furent douloureux et c’étais normal après tout. Enfin il vint à mon chevet. Il n’en croyait pas ses yeux quand il me vit. J’étais devenue son unique raison de vivre. Le médecin ne me donnait pas très longtemps à vivre car pour lui jamais un bébé aussi prématuré que moi ne pouvais vivre. Pendant 2 mois et demi il venait régulièrement me rendre visite pour moi si mon état était stable mais les dieux étaient avec moi. Mon père avait tout préparé dans le reste de la maison afin que rien ne puisse mettre ma santé en danger. Les premiers mois furent un peu difficiles mais mon père était tout ce qu’il y avait de plus heureux. Je n’eus aucuns problèmes grâce au lait riche de ma nourrice. Lors de mes 11 ans mon père épousa une veuve d’un général qui avait un fils dont je m’étais amouraché petite. Il avait le même âge que moi. Il s’appelait Joshua. Nos parents nous donnèrent un nouveau petit frère James. Tout ce passait dans le meilleur des mondes. Mon père garda ses fonctions de général et ma belle-mère celle de femme au foyer, ce qui était normal après au temps où je suis née. Puis vint mes 16 ans et ceux de Joshua. Il était le meilleur dans son école, il faisait partie de l’élite. Les années passèrent et bientôt je vis l’âge de 18 ans arrivé avec les sorties et l’entrée dans le monde des jeune filles prête pour le mariage. Mais personne ne m’intéressait. Puis arriva mes 19 ans.

===> Suite dans les messages

.::H.J::.



Nom/Prénom: Camille

Age: 15 ans et demi - 16 dans un mois !

Comment as-tu découvert le forum?: Ow par une certaine Gianna lee qui l'avais passé a un certain Kaiji Yu ^^

Comment tu le trouve? Jolie ^^

Et le design? Et bien certain truc a revoir mais jolie ^^

Serais-tu d'accord pour que ton personnage meure? Hum sa dépend ! Elle est déjà morte ><'

Alice toujours deux guerres en retard pour pas changer!

Bienvenue sur le forum!

Ma Transformation:

J’avais 19 ans tout justes faits lorsque mes parents m’apprirent que j’avais un prétendant. Je ne cachais pas que j’étais surprise quand j’appris qui était le jeune homme, même avec ma beauté je doutais de pouvoir m’approché de lui : Keith Maiden. Il était tellement beau, tellement populaire et puis toutes les mères de familles voulaient mariés leurs filles à ce jeune homme qui soit dit en passant était très riches. Mais moi, moi j’étais fille de militaire, d’accord d’un général, mais je n’avais ni sa richesse, si sa gloire et sa réputation. Pourtant mais parents avaient déjà tout arrangé avec ses parents (aussi beaux que leurs fils d’ailleurs). Je devais le rencontré ce soir lors de la soirée de galas de fin d’étude de mon frère qui avait lieux le soir même. Toute la sainte journée ma mère n’arrêta pas de me pomponné, de jacassait sur la chance que j’avais qu’il me préféra aux autres. Elle disait que c’était grâce à ma beauté exotique. Moi je n’en étais guère certaine, il y avait des centaines d’autres jeunes femmes dans la ville qui était toute aussi belle que moi voir mieux portant c’était moi sa préférée, il devait y avoir une raison. Toute la journée ma mère continua à me pouponné afin, comme elle me le disait, me rendre belle. L’heure du gala approchait et je commençais à me sentir de plus en plus angoissé. Marion, ma gouvernante mais aussi ma confidente, me coiffa d’un chignon à accroche cœur et de perle de nacre. Elle m’aida ensuite à enfilé ma robe à corsage beige rosé. A chaque fois qu’elle tirait sur les lacets de mon corsage pour le serrer, je tirais une mauvaise grimace car cela était douloureux mais heureusement l’ouvrage ne prenait guère beaucoup de temps et ma souffrance s’apaisa une fois que ce fut terminé. Puis elle s’en alla me laissant seule face à mon miroir. J’accrochais un doux collier d’Améthyste sertie de diamant et d’or blanc. L’heure était là, dans quelques minutes j’allais rencontrer l’homme qui risquait de m’épouser. Ma mère m’appela et je descendis l’escalier. Tous ouvrirent de grand yeux lorsqu’ils me virent enfin, soit disant j’étais passé de l’état de sauvageonne à celle de Lady. Je ne savais quoi pensé. Puis nous partîmes pour le gala. Quand nous arrivâmes là-bas je n’eus guère le temps de voir beaucoup de monde que déjà ma mère, m’entrainais vers ma futur belle famille. Autant dire que la gêne m’avait submergée. J’avais peur très peur de rencontré l’homme sur qui toute les jeunes femmes bavé, toutes, sauf moi. Lorsqu’il me vit son regard sombre s’alluma comme une chandelle. Je rougis doucement et quelques minutes après nous dansions ensemble en une douce valse. Nous passâmes toute la soirée ensemble, jamais nous n’étions loin de l’autre. Lorsque ce fut l’heure de nous quitté, il déposa sur ma joue un doux baiser qui me fit rougir. Le lendemain, il vint chez moi grâce à la superbe invitation à manger que ma mère lui avait faite. Je m’étais habillé d’une robe légère avec ma taille ceinturé d’un ruban. Il n’avait eut de cesse de me complimenté pour faire face à manque d’intérêt pour sa personne. Puis nous étions allé nous promené et nous étions rentré. Mais l’orage tonna et la pluie s’abattis, l’empêchant ainsi de rentré car il était venu à pied. Jamais nous nous étions tenu par le bras ou par la main mais lorsque je saisis sa main pour monté l’escalier, chose que je pouvais faire seule, je me rendis compte qu’elle était glacée. Il me suivit dans l’escalier et me quitta devant la porte de ma chambre. Puis il alla dans la chambre réservé au Invités. Le lendemain matin je n’eus guère le temps de le croiser car il partit tôt. J’étais indéniablement sous charme au vu de la tristesse qui emplit ma personne après son départ. Pendant plus d’une semaine il me fit parvenir des mots afin de l’excuser de son absence à mes côté. J’y répondais toujours. Puis un après-midi où il fit gris dehors, un majordome l’annonça à la maison. Il disait avoir une importante affaire à réglé avec mon père. Je ne su que dire, ni quoi penser. Je revenais alors dans ma chambre sans demandé mon reste. Plus tard, on frappa à ma porte puis on entra. C’était lui, suivit de mon père. Keith s’agenouilla devant moi et me fit sa demande en mariage. Je fus surprise comme jamais mais je ne pus refuser. Tout commença à se mettre en place, ses parents et les miens commencèrent les préparatifs du mariage qui était annoncé comme le plus grand que la ville n’est jamais vue. Les jours passèrent et le mariage était imminent. Le jour J arriva. Comme prévus il fit gris mais il ne plut pas. Les invités étaient tous là et la cérémonie pouvait ainsi commencée. Tous furent subjugués par la beauté de mon apparat. Nous échangeâmes nos vœux puis nous celâmes ceux-ci d’un baiser. La fête pouvait commencer mais pas pour nous, non, car notre lune de miel commençait dés à présent. Keith, mon époux, m’emmena avec lui après que j’eus dit au revoir à tous ceux que je voulais puis nous allâmes chez lui. J’étais loin de me douter de ce qui allait arriver là-bas. Une fois chez lui, nous montâmes dans notre chambre et il me fit allonger sur son lit. Je crus d’abord que nous allâmes nous abandonner aux plaisirs de la chair mais c’est lorsqu’il planta ses crocs dans la chair de mon cou que je compris. J’avais épousé un vampire. La douleur commença à ce faire violent dans tous mon corps puis il ôta ses crocs de mon cou. Il déposa ensuite ses lèvres sur les miennes et se saisit de ma main, ses yeux paraissaient larmoyant comme s’il était triste de son acte comme s’il n’avait pas voulu faire sa. Puis il susurra au creux de mon oreille, une phrase qu’encore aujourd’hui je me rappelle : « mon amour pardonne moi de t’avoir réduite au même rang que moi, pardonne moi d’avoir fait de toi une immortelle, je me suis conduit comme un égoïste, mais je te voulais pour l’éternité et c’était la seule façon d’y arrivé . Pardonne pour la douleur que tu vas subir, je serais là, ne t’inquiète pas. Je t’aime. » Je passai alors une semaine complète allongé sur son lit, lui à mon chevet afin de calmé mes cris et mes gémissements de douleurs. Puis tout se stoppa net, la douleur se dissipa et j’ouvris enfin les yeux. Je ne criais plus, ne gémissait plus, n’avais plus mal. J’avais juste très soif. Une soif que je ne comprenais pas. Lorsque mes yeux s’ouvrirent mon mari était la à côté de moi et me sourit. Puis il m’emmena avec lui chasser, où je tuais pour la première fois et pas la dernière. Quelques temps plus tard nous déménageâmes et allâmes en France.

Ma Vie de Vampire:

C’est donc en France que je commençais ma vie de Vampire. Ma famille, mon mari et moi, nous installâmes dans une ville française dont je n’arrivais pas à prononcé le nom. Keith avait acheté un grand manoir rien pour nous tandis que sa Famille s’installait dans une propriété non loin de la nôtre. Ma soif se calmait et mes yeux commençait à être moins Flamboyant, le voilà rouge sur mon iris bleu commencés à ce dissipé. J’avais du mal à me contrôlait. Quoi de plus normal après tout ! J’étais un jeune vampire. Mon mari prenait grade aux gens qui passait trop prés de la propriété et faisait attention aux humains qu’il recevait, car oui, Keith était médecin. Je m’arrangeais toujours pour n’être présente que lorsqu’il n’y avait pas d’humain dans la maison car j’avais peur de les attaqués. Certes je les tuais mais Keith m’avait appris à choisir mes proies. Plus le temps passait, plus j’arrivais à canalisé mes impulsions meurtrière, à devenir disciplinée. Mon mari était fier de moi comme jamais. Il disait que je serais la plus belle créature au monde lorsque le voile rouge de mes yeux aurait disparue. Il disait qu’il était fier de m’avoir pour femme. Je lui étais fidèle comme jamais, et je savais qu’il était comme moi. Le temps passait, la clientèle augmentait et j’arrivais de mieux en mieux à me gérer et à gérer ma soif. Mais j’avais aussi commencé à éprouvait de la jalousie pour une jeune humaine, une autre, qui s’intéressait particulièrement à mon mari, c’est donc ainsi que je me fis de plus en plus présente lors de ses consultations. La jeune femme l’avait prise pour un jeune veuf mais lorsqu’elle me vit, elle comprit qu’il n’en était rien. Il s’était battit une forte réputation dans toute la ville et tous le monde le voulait comme médecin. Mais avec ce redoublement de travail je commençais à me sentir un peu seule. Il ne passait guère beaucoup temps en ma compagnie et cela me pesait. Un soir, après une lourde altercation avec lui je partis en chasse sans personne, seule comme le vent. Feu mon cœur était lourd, et mon humeur était noire. Je partis loin très loin dans la maison quand tout à coup l’odeur alléchante d’un humain arriva jusqu’à mon odorat surdéveloppé. Mais une autre odeur se mêla à celle que je traquais, une odeur de vampire. Je m’arrêtais doucement et humais l’air ambiant, le vampire sentait encore l’humain, c’était un jeune vampire à première vue. Je n’avais qu’un an mais je savais parfaitement reconnaitre un vampire jeune et un vampire âgé. Je réfléchis quelques minutes. Qu’aurait fait Keith dans ce cas ? Je ne le savais pas. Je pris alors la décision qui ruina ma vie. Je partis en chasse après l’humain. Quelques kilomètres plus loin je tombais sur le fameux vampire. Un jeune homme aux yeux d’un rouge sang me faisait face, il était extrêmes jeune, environ 16 ans ou 17 ans, guère plus que moi en tout cas. Il paraissait sur de lui mais quelque chose d’étrange attira mon attention. Je l’avais déjà vu quelque part. Mon dieu, je m’étais trompé, ce n’était pas un garçon mais la jeune femme dont j’avais été jalouse. Quand je la reconnue, je compris ce qu’il c’était passé. Keith l’avait mordu et il s’occupait d’elle lors de ses soit disant consultation. La colère me submergea et la rage augmenta d’un cran. La jeune femme qui s’appelait Séraphine, me reconnue et ouvrit de grand yeux. Elle comprit ce qui allait lui arrivé. Elle prit peur et ce mit à courir en direction de chez moi. Je ne mis pas longtemps à reconnaitre son odeur et à la suivre à la trace. Ma colère était violente et telle que je doutais réussir à me calmé. Je courrais agile, gracieuse mais aussi dangereuse qu’un guépard en chasse. Je sentais l’odeur de chez moi se rapprochait et j’accélérais. Quand enfin j’arrivais à la maison, la famille en entier m’attendait, les 3 frères de Keith étaient là, ses parents, Séraphine et mon mari. Tous étaient devant Séraphine. Mon mari fut le premier à s’avançait vers moi et a tenter de me calmé. Il m’expliqua pourquoi il l’avait mordue. Pour la sauvé, avait il dit, mais moi je ne voulais que la tué. Tours à tours ils s’avancèrent un à un afin d’essayé de me calmé mais rien n’y faisait. Je tremblais comme une folle et au bout d’un moment Séraphine s’avança vers moi et me dit qu’elle était amoureuse de mon mari et que lui aussi. Tout devint flou et je me jetais au coup de la jeune fille. Je la démembrais, en faisait du pâté pour chat et dans la lancé je tuais les frères de Keith, sa mère et lorsque je me jetais sur le père de Keith, je ne pus me résoudre à le tué. Il m’implorait de ne pas le tuer, il m’implorait de lui laissé la vie sauve pourtant la colère fut plus forte que ma raison et je le tuais sans coup de conscience. Quand à Keith il était prostré prés du corps de sa mère et d’un de ses frères. Si ses yeux avaient pu pleurer, il aurait pleuré toutes les larmes de son corps. J’arrêtais prenant conscience du massacre que je venais de faire. Depuis le début j’avais su me contenir mais cette fois-ci j’avais tout relâché, j’avais perdue le contrôle de moi-même. Doucement mon mari se releva et me regarda. Je vis toute la douleur que je venais de lui causé, je vis dans ces yeux toutes l’horreur de mon acte. Il tenta de s’approché de moi mais je reculais violement, par honte et par peur de lui faire du mal. Je l’aimais. Je les avais tous aimé enfin presque sauf séraphine mais lui, lui je ne voulais pas lui faire du mal. Keith tenta encore une approche mais cette fois-ci je me laissais tomber au sol. Il s’approcha et tomba à genoux devant moi. Je me souvins des mots qu’il m’avait dit : « ton amour pour moi vient de détruire tous ceux que j’aimais et pourtant le massacre que tu viens de faire, ne me fait pas te haïr. Je t’aimais, je t’aime et t’aimerais toujours mais tu as tué sous la rage. J’aurais du me rendre compte que tu étais jalouse. Mon amour je … je veux que tu me tue à mon tour. Mon amour cèle ta rage contre moi. Tue-moi ! Je ne t’ai fait que du mal. Pardonne-moi ! Mon amour je t’en supplie pardonne-moi de vouloir abréger tes souffrances. » Je me souvins aussi de ce que je lui avais répondu : « Keith tu as été le seul homme de ma vie, le seul qui ai su gravé son empreinte dans mon cœur. Je t’en supplie arrête de me demandé ta mort, car sans toi le monde n’existe pas. Je me hais d’avoir tué ta famille, je ne regrette pas de l’avoir tué elle, mais s’il te plait pas toi. Ne me force pas à et tuer. Mon amour … je … pardonne moi de ne pouvoir accéder à ta requête ! » Il continua à me demandé et dans un ultime effort je refusais à nouveau. Mais il me demanda de nouveau et par amour j’engageais le combat, que je gagnais assurément puisque je venais de faire le pacte de le tuer. Lorsque j’eus ôté la vie au seul homme que j’aimais, je me mis à hurlé de tristesse. J’agonisais carrément. Que venais-je de faire ? Qu’elle folie meurtrière venait de me prendre au corps ? Je ne le savais pas. Depuis 369 ans se sont passé, j’ai fait la morte pendant plus de 200 ans, je chassais à peine et ne chercher la compagnie de personne. Je errais dans mon ancienne maison jusqu’au jour où j’entendis parler d’un manoir qui se libérait dans une ville où vivait une famille de vampire. Je décidais donc d’allé emménager là bas. Depuis je vis dans cette ville : Saint-Martin.

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